Toponimo

Henchir Djeddi Ahmed / Sidi Ahmed

Posizione

36.41° N, 9.460° E, h. 149 m.

Descrizione

Dans la cour de la ferme d’époque coloniale sont éparpillés les restes d’une ferme et d’un mausolée: Un contrepoids, un soffite et une inscription funéraire. M. le capitaine Bordier a visité le site le 27-28 Octobre 1885 et Cagnat a publié son rapport dans le BCTH 1885-152-164.

Il y a trouvé ‘1°une tête de statue très endommagée et une partie inférieure de statue figurant les replis d’un serpent ; 2° deux bas-reliefs, l’un représentant à gauche un palmier, à droite un vase duquel s’échappent deux branches de vigne avec raisin que deux quadrupèdes et un lézard ( ?) viennent manger ; l’autre un sacrifice à Bacchus : à droite, un homme conduit un bélier, tandis qu’un autre mène un groupe d’animaux dont il est difficile de fixer la nature ; à gauche, un autel avec branche de vigne et raisin, et deux hommes qui, se tenant par la main, semblent danser.’

Les cinq inscriptions mentionnées par Bordier ne sont pas été retrouvées :

DU700EP002[Scheda]

Cagnat BCTH 1885

CIL 8

texte

159 n. 16

12328

Primus iunior / est in base quae / coh(a)eret haec / columna et iis / Homerum om/[ni studio exposuit

159 n. 18

12329

Pri/mus

159 n. 17

12326

] / deposuit [fe]/cit et ea (a)edificia / dedicavit


 

Primus iunior / est in base quae / coh(a)eret haec / columna et iis / Homerum om/[ni studio exposuit

AAT 241, hr. Sidi Ahmed; hr. Djeddi Ahmed Dans la cour de la ferme d’époque coloniale sont éparpillés les restes d’une ferme et d’un mausolée: Un contrepoids, un soffite et une inscription funéraire.

Citazioni sito

Hilaire and Vellard 1896, 837:

"A huit kilomètres en aval d'Enchir-Tambra, sur la rive gauche, sont des ruines que les Arabes nomment l'Enchir-Sidi-Ahmed. Là, couronnant une berge haute de huit à dix mètres au pied de laquelle primitivement passait la rivière, était un édifice byzantin rectangulaire mesurant 35 mètres sur 40; les murs en sont en grande partie détruits ou enterrés, et l'on ne peut guère, sans des fouilles préalables, déterminer avec quelque certitude la destination de ce monument. Il est possible que ce fut, en dernier lieu tout au moins, un fort: sa forme rectangulaire, sa situation dominante au bord même de la rivière, les matériaux disparates encore à leur place dans les débris des murs ou qui jonchent le sol à l'intérieur ou autour de cette ruine (fragments de frises ornées de sculptures, fragments de conduites, bases honorifiques) rendent en somme cette hypothèse fort admissible. Peut-être, si ce fut réellement un réduit fortifié, avait-il été, comme celui de Ksar-Ellel, moins fortement construit que les trois premiers dont nous avons parlé, soit qu'il provînt d'un édifice organisé défensivement en grande hâte, dans un cas pressant, soit que la proximité de la solide forteresse d'Enchir-Tambra le réduisît au rôle effacé d'un simple poste d'observation."

Bibliografia

Hilaire, M. and Vellard (1896). «La défense de la vallée de la Siliana pendant l’occupation byzantine». In: Congrès de Carthage, 4 avril 1896, Comptes rendus de l’Association française pour l’avancement des sciences, pp. 829-40. Bibtex

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